The Power of the Powerless and the Politics of Antipolitics

Texte de Zhang Rongjun

Li, Shenzhi (1998). « The Power of the Powerless and the Politics of Antipolitics:  The Philosophy of Life of the Post-Totalitarian Era », Contemporary Chinese Thought, vol. 33.2, p. 5-13.

Li Shenzhi, né à Wuxi, Jiangsu le 15 août 1923, est un scientiste social et intellectuel public en études internationales, son nom à la naissance est Li Zhong. Il a lu un grand nombre des œuvres en science humaine et sociale dans sa vie au lycée, il étudiait à l’Université de Yancheng et de l’Université de Saint-John de 1941 à 1945 ou il participait aussi aux activités du Parti communiste chinois. Il travaillait ensuite comme un enseignant au lycée et un éditeur pour un magazine. Il travaillait à Le quotidien Xinhua en 1946, et a devenu un membre du Parti communiste chinois en novembre 1948. Il travaillait à Xinhua depuis 1949, travaillait comme le secrétaire du Premier ministre Zhou Enlai. Dans le Mouvement anti-droitiste, il a été défini comme le droitiste. Après la Révolution culturelle, il travaillait au Groupe de composition des études internationales, le Comité central du Parti communiste chinois à Beijing en 1973, et il travaillait à l’Académie chinoise des Sciences sociales de 1980 à 1989. Il faisait des études au libéralisme et a publié divers livres dans ses dernières années de la vie, il décède le 22 avril 2003 (Happyseeu 2014).


Cet article vise à discuter comment nous envisageons la post-totalitarisme en Chine, l’auteur nous a donné des actes de Vaclav Havel, le président de la République tchèque, il explique comment le Président Havel luttait contre le post-totalitarisme jusqu’à sa montée dans la position du président à fin de montrer ses argumentations, il s’agit un processus graduel de la démocratisation. Il nous a donné une conclusion que chacun devait justement dire la vérité et faire des choses dans le post-totalitarisme en Chine, puisque la conscience pousse les peuples de poursuivre la vérité. Cet article critique des exemples concluants du Président Havel pour tirer ses arguments, on constate que la vie intellectuelle depuis Tian’anmen, les Chinois sont tous insensibles comme l’exemple donné par le Président Havel dans l’article. Les gens ont commencé à réfléchir sur le futur de leur pays, ils ne cessent pas de poursuivre la démocratisation de la Chine, donc ils publient leurs arguments sur tous domaines de la Chine à fin d’accélérer la progression en démocratisation politique, comme la croyance politique du Président Havel, une poursuite incessante de la vérité pour trouver une meilleure façon de sauver leur pays dans le post-totalitarisme. Je crois qu’on doit se libérer notre idéologie selon la religion, puisque notre croyance nous une conscience à réfléchir toutes les choses, comme l’article de Li a dit, c’est notre conscience qui nous pousse à dire la vérité, comme christianisme et le bouddhisme, leurs disciples réfléchissent toujours la confluence avant qu’ils fassent une chose, donc ils ont une conscience de poursuivre la vérité. Des connaissances des livres sont aussi une façon de nous aider de former une pensée libérale, puisqu’on va être plus sage de réfléchir toutes les choses.

Bibliographie
Happyseeu. « 李慎之 », Wikipédia [en ligne], 2014, http://zh.wikipedia.org/zh/李慎之 (page consultée le 6 mars 2015).